LES FAITS : Une bande organisée désinforme sur Internet des journalistes plus ou moins connus et des personnalités, les poussent à bout. Quand les personnes visées craquent, les auteurs membres de cette bande organisée portent plainte pour diverses raisons auprès des services de police.
LES MOBILES : La jalousie maladive, la méchanceté gratuite, les opinions politiques extrémistes et anti-républicaines tenues par cette bande organisée sont autant de mobiles. D'après nos informations, cette bande est formée par des hommes (de 35 à 40 ans et plus) et deux femmes, certains au chômage, d'autres ex-journalistes virés pour fautes graves, célibataires ou mariés, les membres de ce groupe sont tous identifiés comme d'appartenance à des mouvements politiques extrémistes quant ils ne diffusent pas leurs idées anti-républicaines sur le Web. L'un d'entre eux se dit 'sapeur pompier de Paris', après investigation il nous a été confirmé que celui-ci a été pompier bénévole suspendu pour... faute grave ! Une usurpation de titre officiel qui a été signalée aux sapeurs pompiers de Paris via mon contact de presse sur place.
LES LIEUX : Internet est le premier lieu de diffamation, de menaces et d'intimidations. Les membres de cette bande organisée ont le point commun d'être tous présents sur Internet et de sévir depuis plusieurs années sur les forums publics dont ceux de Usenet. Ils aiment descendre en groupe la cible choisie, voici ce qu'il peut se passer:
1) Les 'techniciens' du groupe fabriquent et lancent des pages Internet, des messages et autres courriels contenant des rumeurs, mensonges et diffamations caractérisées, c'est le début de la provocation. Tout est fait pour que la personne visée soit au courant que de tels messages et pages Internet existent. Ces techniciens effacent toute trace compromettante que la personne visée pourrait présenter lors d'un procès ou aux officiers de police judiciaire, seule alternative: Le constat par huissier de justice et la plainte très rapide (éventuellement une main-courante, mais attention, aucune valeur face à un tribunal ! ).
2) La personne harcelée répond à des fausses rumeurs et se défend en public sous son nom réel dans les forums, la conversation change de ton, le groupe tente de faire péter un plomb à la cible (insultes, provocations...), au moindre dérapage le groupe fait front pour envoyer - à chacun son tour- des emails (contenant les propos de la victime) au service 'abuse' de son fournisseur d'accès: il arrive parfois que l'effet de groupe marche (certains utilisent des dizaines de comptes emails ou d'autres fournisseurs d'accès), la victime de la meute se retrouve déconnectée du web pour s'être défendue sur des forums publics de type Usenet.
3) La personne harcelée ne répond pas, elle risque de voir sa vie privée et professionnelle envahie par des coups de fils anonymes, lettres insultantes et autres désagréments, preuves constatées que nous réservons à la justice de ce pays pour qu'elle puisse voir qui elle laisse sévir en toute impunité.
4) Le groupe via des techniques d'échanges de liens, va créer une page web sur l'un des sites d'un des membres de la meute, une page diffamatoire dont le titre en MAJUSCULES est souvent le nom de la personne diffamée suivi d'un commentaire peu élogieux. Le texte de la page diffamatoire sera recopié, modifié et collé sur d'autres sites web, avec l'échange de liens, la page grimpe très vite dans les moteurs de recherche comme Google, certains utilisent deux techniques que nous avons fait constater par huissier de justice, elles sont, bien sur, attaquables devant les tribunaux. Pendant que d'autres membres du groupe envoient des emails insultants à la personne visée, voire des menaces de mort, un membre est chargé d'aller coller les liens et les textes de la page diffamatoire là où ils n'ont rien à faire, c'est à dire sur des forums de jeux, de médecine, de magazines, de journaux, en plus de faire une sale réputation, cette technique fait monter la côte de la page ou du site diffamatoire en question.
5) Il arrive parfois que certaines victimes craquent rapidement, moi j'ai tenu quelques trois ans, jusqu'au jour ou j'ai décroché mon téléphone pour m'expliquer avec l'un d'eux: c'était un piège: il deviendra la "victime d'un type qui le menace au téléphone", et la justice gobera tout cru l'histoire...
Aujourd'hui le temps me donne hélas raison: la meute s'affole, me menace, et implique mon travail et mes proches. Seul des plaintes avec des constats par huissier peuvent faire cesser ces activités malsaines.
(Source: http://jpney.free.fr/JUSTICE/JEAN-PAUL-NEY-DOSSIER-JUSTICE-FAITS.htm)